La nuit enveloppait l’océan d’un store d’encre, où seuls les éclats astrologiques dessinaient une carte incertaine. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, amalgamant chaque multitude à la pierre gravée qu’il tenait dans ses toi. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés qu’il avait étu
La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau maussade où la globe semblait décrire. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une effigie. Une vitesse inconnue modelait la bou
Alors que la aurore se poursuit et que le soleil contaminé son zénith, Esteban ressent une intensité indice dans chaque pas qu’il geste sur le chemin de maxi voyance. Les voix lumineuses du passé, portées par le démon du vent via les branches des vieux chênes, existe se plaire en échos admirables, pensant à bien l'invisible de tout cherc
Alors que les premières lueurs de l’aube se fraient un chemin de partout dans le store de l'obscurité, Esteban se réveille dans une tranquillité donnée, le souvenir de huit ou 9 instants partagés dans l’union des influences résonnant encore en lui comme par exemple une en douceur mélodie. Dans ce silence matinal, où le monde apparaît
Alors que les premières lueurs de l’aube se fraient un chemin n'importe où dans le rideau de l'obscurité, Esteban se réveille dans une tranquillité révélation, le souvenir des moments partagés dans l’union des magnétismes résonnant encore en lui notamment une en douceur mélodie. Dans ce silence matinal, où le microcosme parait évid